Je mets à profit l'arrivée du printemps pour faire le point sur mon stock de pièces détachées et d'accessoires. Mon trésor de guerre personnel de vieux machins vintage sera également exploré, histoire de voir s'il n'y a pas deux ou trois pépites qui traînent. Venez à l'heure parce que contrairement aux zouzous de la librairie je ne pense pas jouer au brocanteur toute la journée.
Affichage des articles dont le libellé est ouille. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est ouille. Afficher tous les articles
jeudi 7 avril 2016
samedi 29 août 2015
Ouille !
A force de rapporter toutes les conneries entendues à l'atelier, il semblerait que certain-e-s lecteurs/rices et client-e-s développent une forme d'angoisse assez originale. J'en connais deux ou trois qui en préambule à toute discussion au sujet de la maintenance de leur biclou me demandent : On est d'accord, si je dis une connerie tu ne la mettras pas sur le blog, hein ?". Ma puissance médiatique me fait parfois froid dans le dos.
Par atténuer cette paranoïa je propose d'aller moi-même m'exposer sur la sellette. En effet, aujourd'hui, c'est ma langue qui a fourché de la plus belle manière. J'en suis encore tout piteux.
J'expliquais à des clients que je ne voulais pas assumer la réparation d'un vélo d'enfant. Son état de délabrement avancé me faisait craindre le pire : Surtout si c'est un casse-cou !, voulais-je ajouter à propos de l'enfant qui en avait l'usage.
Malheureusement, la phrase qui a franchi mes lèvres ne fut pas exactement celle que mon esprit avait formulé. L'altération fâcheuse d'un quelconque signal électrique a donné la sortie suivante : Surtout si c'est un casse-couille !
En même temps que je me confondais en plates excuses, je ne rêvais que d'une tombe fraîchement creusée afin de m'y terrer éternellement.
Par atténuer cette paranoïa je propose d'aller moi-même m'exposer sur la sellette. En effet, aujourd'hui, c'est ma langue qui a fourché de la plus belle manière. J'en suis encore tout piteux.
J'expliquais à des clients que je ne voulais pas assumer la réparation d'un vélo d'enfant. Son état de délabrement avancé me faisait craindre le pire : Surtout si c'est un casse-cou !, voulais-je ajouter à propos de l'enfant qui en avait l'usage.
Malheureusement, la phrase qui a franchi mes lèvres ne fut pas exactement celle que mon esprit avait formulé. L'altération fâcheuse d'un quelconque signal électrique a donné la sortie suivante : Surtout si c'est un casse-couille !
En même temps que je me confondais en plates excuses, je ne rêvais que d'une tombe fraîchement creusée afin de m'y terrer éternellement.
jeudi 17 juillet 2014
Non, merci
Libellés :
à l'impossible nul n'est tenu,
aîe,
Argh,
au secours,
Merci,
non,
ouille,
pfff,
pitié
samedi 17 septembre 2011
La main dans le sac

J'ai connu des journées qui débutaient sous de meilleures augures... Je dis toujours, lors d'une crevaison, de passer la main à l'intérieur du pneu pour sentir si la cause de la crevaison est restée fichée dans la gomme. Là, je l'ai bien senti le bout de verre pilé.
J'ai plus qu'à dessiner sur mes beaux pansements, pour ensuite monter un spectacle de marionnettes.
Libellés :
aîe,
bof,
ça pique,
on a vu mieux,
ouille
Inscription à :
Articles (Atom)