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mardi 7 août 2018

Trêve de bavardages

Voici une livraison de photos d'une virée déjà évoquée. C'est exempt de commentaires parce que déjà bien indigeste. Un seul fil conducteur : l'ordre chronologique.

dimanche 31 juillet 2016

Méconnu Méjean

Qu'elle semble loin l'agitation du travail lorsqu'on prend un peu de recul. Recul accompagné d'un peu de hauteur, puisque la semaine qui s'achève a été consacrée, avec quelques amis, à la méticuleuse exploration des routes et chemins du Causse Méjean en Lozère. Je partage donc les quelques photos qui suivent. Néanmoins, ne voyez pas dans l'échantillon quoi que ce soit de représentatif de ce bout de (relatif) désert. Dès le troisième jour j'ai renoncé à prendre mon appareil photo lors de mes sorties. La grandeur du paysage me dépassait. Je ramène donc avec moi plus de sensations que d'images. Le son des cloches de brebis au crépuscule. Le sel sur la peau et le coeur au bord des lèvres après une montée en lacets depuis la vallée de la Jonte. Le bordel des cigales à vous rendre dingue au fond de cette même vallée. Le vertige à pédaler sur un sentier à ne pas mettre une mule dehors. L'écho des cailloux qui chassés par mes pneus ne résistent pas à l'appel du vide. Les dérapages incontrôlés qui font chanter les pneus. Le vent caressant sans brusquerie les blés nains. Mes bras mordus le jour par un soleil de plomb et la nuit par de mystérieux visiteurs tout aussi voraces. La fraicheur d'une bière bien méritée quel que soit l'effort fourni. Et puis des moments que moi seul peut comprendre, comme l'accent lozérien d'un Jules Vernes de pacotille rencontré au fond d'un gouffre.

Une distance diabolique,

mais plus proche du paradis que des enfers.

Tout tourne ici autour du confort des brebis.

Les sages.

Les galeuses.

1,4 habitant/km2. Toute rencontre est à prendre au sérieux.

Loin de tout, à commencer par l'orthographe.

De toutes façons, les mots sont inutiles.

Indescriptible.

A moins de donner dans la poésie de carte postale ?

Ce serait tout aussi naïf que ce calvaire.

Et aussi pourri que cette blague : J'ai roulé Surly cailloux.

C'est le chaos.

Le repos du pierrier.

Enceinte proto-historique

Monument hystérique.

Un ami garde-du-corps en pause.

L'embarras du choix.

mardi 17 décembre 2013

Code 666

Histoire de pimenter la dernière semaine avant les vacances, je vous propose un petit jeu.

J'ai placé quelque part en ville un antivol de poche (voir photos). Le/la première qui met la main dessus et me le ramène gagne. Le code pour l'ouvrir est 666.

Vous avez jusqu'à samedi soir, 19h !

A gagner ? Au choix une roue de pignon fixe DP18 bleue ou rouge, ou une paire de Schwalbe Marathon pour qu'il y en ait pour tous les goûts...