Il n'a guère de demi-mesure en matière de lubrification des chaînes par le commun des cyclistes. Soit c'est pas assez (et même plutôt rien du tout), soit c'est beaucoup trop et je retrouve comme c'est le cas ici la moitié d'un champ pétrolifère de la Mer du Nord amalgamé avec de la poussière de voie verte du Maine-et-Loire en un cambouis qui finit toujours par gagner et défoncer toute la transmission. Là, l'exemple est tellement explicite que je ne résiste pas à partager cet panne par hyperlubrificationomie si j'ose une analogie foireuse avec le cholestérol.
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