Tous les ans, lorsque l'été montre des signes de déclin, je révise et améliore mon, désormais vieux, Surly avec le secret espoir de trouver la parade technique à mon manque d'aisance dans les chemins.
Cela ne marche jamais, mais la dernière version s'avère moins imparfaite que moi. Histoire de retrouver des sensations, j'ai cramé un peu de graisse aux abords d'Angers. Errant d'un cours d'eau à l'autre, j'ai pédalé de concert avec la petite Maine, la Loire majestueuse, pour finir au chevet de l'Authion à l'agonie. Sentiment d'agonie partagé par mon corps mais avec des conséquences bien moins néfastes.
Je partage ici quelques clichés accompagnés de commentaires tout aussi vaseux que ma dernière compagne.
Il suffira d'un cygne,
Un matin,
Un matin tout tranquille,
Et serein
Un matin,
Un matin tout tranquille,
Et serein
Vert de gris
Verre sous gris
Effacement de la culture ouvrière
Effacement de tout souvenir
S'éclaircir les idées
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire