-Lorsque je dois monter une côte, disait l'auteur de Triplepatte, j'emploie le plus grand développement possible. Ce qui est contraire à toute logique, puisque les grimpeurs utilisent de petits braquets. Mais Tristan Bernard, qui était un fervent du cyclisme et qui connaissait parfaitement son sujet - il fut directeur du vélodrome Buffalo - ajoutait aussitôt : -Comme je monte les côtes à pied, je reçois moins souvent la pédale dans les mollets.
Histoires de...Cyclisme, J. Augendre, Calmann-Lévy, 1966