lundi 20 janvier 2020

Épi voilà !


Encore une chronique d'un tour à vélo sous le soleil angevin ! Vous vous lassez ? Pas moi. Vous allez constater que je ressasse : la cartographie sous toutes ses formes, l'azur du ciel angevin, le ciment décrépi des chateaux d'eau du siècle passé, les bêtes crevées sur le bas-côté, la nature qui résiste aux assaut de la "civilisation" et ainsi de suite. Rien de neuf à l'ombre de mes névroses. Encore que vous n'aviez peut-être pas encore remarqué ma passion secrète pour les canards qui font craquer mon coeur plus sûrement qu'une portée de chatons ?

Encore un château d'eau qui mériterait d'être renommé château d'ondes tant il s'est diversifié en matière de distribution des flux.

La roue tourne (1).

J'apprends toujours sur le tas.

Le roseau a quitté la fange pour se faire une place au soleil.

 Alimentation de précision.

Précisément régulière.

La roue tourne (2) parfois si sauvagement qu'elle emporte tout sur son passage.

Cœur-cœur.

Épi voilà, faudra vous contenter de ça.

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