mardi 12 septembre 2017

Périphérique intérieur

Les feuilles commencent à tapisser les chemins. Avant que la boue ne viennent à bout de nos vélléités de nature c'est le moment de musarder à travers chemins et sous-bois. Celui qui avait préparé notre parcours avait réussi la gageure de concocter un parcours de presque 50 km sans jamais sortir de l'emprise de l'agglomération angevine. Nous avons donc erré dans les chemins à l'arrière des lotissements, aux abords des zones industrielles, à travers des confettis arborés. Une bande de gamins désoeuvrés qui traîne dans le quartier en somme.

Autant en emporte l'élan.

Les automobilistes n'aiment pas qu'on fouine sur la route. Prenons la tangente.

Pyramide des âges ?

Landes and freedom.

Vallée d'amour.

 
La question qui m'a taraudé toute la matinée : Faut-il de gros mollets pour avoir de gros pneus ou est-ce le contraire ?

"Mais si, promis, il y a un chemin !"

Les meilleures choses ont un muffin.


Je profite de l'espace ici ouvert pour interpeller Mr. Béchu, maire d'Angers, sur le fait qu'actuellement Angers semble plongée dans un mauvais remake de "Massacre à La tronçonneuse".

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