mercredi 5 octobre 2016

Toi et Moi

Pourquoi s'infliger une telle souffrance ? Quelques jours avant la date fatidique, nous étions six à postuler à un 200 km initié par l'un de nous afin d'entamer dignement l'automne. Finalement, nous serons "deux sans", tous les autres ayant lâchement décliné l'invitation turlupinés par cette question fatale.

La journée a été radieuse. Les boulangeries riches en spécialités inconnues : ainsi dans le nord de l'Anjou, deux choux à la crème collés se nomment un "Divorcer", alors qu'il me semble qu'ailleurs il s'agit d'un "Inséparables". Tradition régionale bien ancrée ? Expérience matrimoniale malheureuse du boulanger ? Quoi qu'il en soit, moment délectable ! Les cafés ont également fait montre d'une belle diversité. Ma préférence va nettement vers les café-bar-tabac-dépôt-de-pain-épicerie-bureau-de-poste de campagne plutôt qu'aux terrasses de bords de Loire où il est de bon ton d'être vu. Voici une très courte sélection de photos qui immortalisent cette journée.

Je crois que ce lieu-dit remporte la palme du nom le plus sympathique. Qui plus est, le hameau suivant s'appelle "Sans souci". Une virée sous de bonnes auspices.

Pour qu'un village pavoise avec une décoration à base de bottes de paille, le passage du Tour n'est pas une nécessité absolue. Il ne manque à ce château à bas-coût que les trois petits-cochons.

Malheureusement, en ce dimanche d'automne ceux-ci avaient fort à faire pour assurer leur survie. Presque aussi haletants qu'eux, nous nous sommes bien gardés d'entraver leur retraite.

Une tour que je ne connaissais pas ! Ô joie renouvellée !

200 et quelques. Merci A. !

1 commentaire:

Rita a dit…

Ça re-donne presque envie !